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14/06/2016
Ville de Tours : Gescime, le nouvel outil de gestion des cimetières
La Ville dispose d’un nouveau logiciel de gestion des cimetières qui permettra de reprendre plus facilement des emplacements et de réaliser des économies.


C'est une petite révolution que connaît depuis le 6 juin le service des cimetières de la Ville. Depuis cette date, le personnel dispose d'un nouveau logiciel, Gescime (pour gestion des cimetières). Plus simple, plus efficace, plus rapide, il offre plusieurs avantages dont celui de rassembler l'ensemble des démarches administratives et financières.
Surtout, Gescime permet de bénéficier d'une cartographie précise de l'état des lieux des cimetières (lire par ailleurs). Utile lorsque l'on a à gérer quelque 45.000 emplacements sur quatre sites.
« Avant, le contrôle se faisait à partir de cartes papier, rappelle Brigitte Garanger-Rousseau, maire-adjointe en charge des pompes funèbres et des cimetières. Pour arriver à remettre à jour toutes ces données, il aura fallu un an de travail au service. »
Ce nouvel outil va notamment permettre de reprendre plus facilement les emplacements abandonnés, en fin de concession (*), et de connaître ainsi les disponibilités futures. Au cimetière La Salle, on estime à environ 5.000 (sur un total de 25.000) le nombre d'emplacements qui pourraient ainsi être récupérés par la collectivité dans les prochaines années. « Ce sera probablement un peu moins car nous souhaitons préserver quelques tombes remarquables, créer de nouveaux espaces de verdures et de nouveaux accès aux carrés. »

Environ 5.000 emplacements à reprendre

Même s'il reste de la place au cimetière La Salle, la reprise de ces anciens emplacements redonnera une « nouvelle vie » au lieu où se déroulent en moyenne 500 inhumations ou dépôts de cendres chaque année?: « Cette nouvelle gestion va nous permettre d'utiliser La Salle pendant encore dix, quinze ans, voire plus, car le renouvellement des concessions se poursuivra, souligne un responsable du service. Même si les inhumations ont tendance à baisser par rapport aux crémations, nous devons anticiper car il y a aura beaucoup de décès dans les prochaines années avec la fin de la génération du baby-boom (lire par ailleurs). »
« Demain, lorsqu'une famille nous demandera un emplacement précis dans un carré, nous pourrons répondre, ajoute Brigitte Garanger-Rousseau, même s'il va falloir un peu de temps pour que tout se mette en place. »
Gescime aura aussi un impact financier. De nouveaux emplacements, ce sont de nouvelles recettes. Et l'utilisation de l'existant (La Salle) évitera à la collectivité d'aménager de nouveaux espaces au cimetière de Tours-Sud où la création d'une marguerite (500-600 emplacements) revient à… un million d'euros. Gescime, lui, a coûté 30.000 euros.
(*) Dans le cas d'une concession temporaire arrivée à son terme, la famille dispose de deux ans pour se manifester?; pour une concession perpétuelle en état d'abandon, qui n'est aujourd'hui plus délivrée, le délai est de trois ans.

repères

> 1.000?: C'est, en moyenne, le nombre de décès chaque année à Tours. Une petite majorité de familles choisissent l'inhumation à la crémation (60?% contre 40) mais l'écart diminue.
> 45.000?: le nombre d'emplacements dans les quatre cimetières tourangeaux (La Salle, Saint-Symphorien, Sainte-Radegonde et Tours-Sud). La Salle et Tours-Sud concentrent environ 90?% des emplacements.
> 27?: le nombre de salariés du service cimetières dont 7 pour la partie administrative et 20 pour les services techniques.

Nicolas Rimbaux

La Nouvelle République, le 10/06/2016

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18/04/2016
La Ville de Vincennes rejoint Gescime !
La Ville de Vincennes a choisi de faire confiance à la société Gescime pour la gestion de ses 2 cimetières.

La Ville de Vincennes dénombre 2 cimetières : Le Cimetière Ancien et le Cimetière Nouveau, pour un volume d'environ 11.000 emplacements.
La gestion informatique de ces cimetières sera assurée par le logiciel Gescime, équipant déjà de nombreuses métropoles en France.

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07/02/2016
La cartographie un outil indispensable pour optimiser la gestion des cimetières
Dans beaucoup de communes, tout repose sur la mémoire du gardien, qui connaît l’emplacement de chaque famille.

Dans le cas des communes sans gardien, les agents administratifs n’ont pas la connaissance du terrain. Ce rôle est bien souvent rempli par les pompes funèbres elles-mêmes.
Il arrive fréquemment de ne pas pouvoir renseigner un administré qui recherche la sépulture de ses aïeux, par exemple. Parfois même, les opérateurs sont contraints de dessiner leur propre plan papier. La cartographie des cimetières est un vrai plus dans la gestion funéraire. Elle permet notamment d’éviter des erreurs de localisation qui pourraient s’avérer catastrophiques pour la collectivité. Pour une gestion optimale, l’idéal est de bénéficier d’un logiciel de gestion intégrant une cartographie conviviale et évolutive.

Disposer d’un plan

La première question à se poser est : "Existe-t-il un plan ?" Si oui : "Mon plan est-il à jour ?" Si vous n’avez aucun plan, vous pouvez faire appel à un géomètre ou à une société spécialisée dans le recensement des cimetières, qui va utiliser un drone permettant de réaliser une orthophotographie du cimetière, par exemple. Celle-ci vous remettra un plan informatique, pouvant par la suite être intégré dans un logiciel de
gestion et dans le SIG de la ville, ainsi qu’un plan pour afficher à l’entrée du cimetière et dans les services en mairie.
Si vous disposez d’un plan, mais qui n’a pas été actualisé, vous pouvez très bien le mettre à jour vous-mêmes par le biais d’un contrôle terrain (ce qui permettra de ne pas engager de dépenses) ou encore le faire contrôler par une société spécialisée. Dès l’instant où vous êtes en possession d’un plan détaillé de votre cimetière, vous pourrez demander son intégration dans un logiciel de gestion.
Là encore, plusieurs solutions sont possibles en fonction de l’éditeur. Là où certaines sociétés proposeront un simple scan de votre plan papier, d’autres le redessineront intégralement en prenant soin d’y ajouter des éléments de décoration (sol, arbres, etc.). Là où certaines intégreront une vue aérienne, d’autres exigeront un plan établi par un géomètre afin de l’intégrer à un moteur SIG. Le problème de cette solution réside dans le fait que le logiciel dépend d’une application tierce (ESRI, QGIS, etc.) pour pouvoir afficher la carte. Bien souvent, les modifications à apporter à la carte demandent des compétences métier spécifiques. Certaines sociétés proposent un mode mixte (stockage des coordonnées SIG dans la cartographie du logiciel de gestion et export de celles-ci dans une vue Oracle ou un fichier CSV sur lequel vient se connecter le SIG de la ville). Prenez donc le temps de choisir l’éditeur en fonction du service et des solutions qu’il est capable de vous offrir.
L’essentiel est de garder en tête qu’un cimetière n’est pas figé dans le temps et que l’implantation des emplacements évolue. Aussi, il est capital de pouvoir faire évoluer son plan en toute autonomie et sans compétences en dessin technique !

Une véritable aide à la gestion

Dès lors que la carte est intégrée au logiciel de gestion, et la numérotation des emplacements réalisée, l’interconnexion avec la base de données est faite. Une vue d’ensemble du cimetière permet de visualiser les différents carrés ainsi que les équipements de type ossuaire, caveau provisoire et jardin du souvenir. Les espaces cinéraires seront également représentés, offrant, selon le prestataire, une vue proche de la réalité.
Idéalement, toutes les aménités seront intégrées : espaces verts (arbres, végétation, haies), mobilier (bancs), points d’eau, locaux techniques, ces éléments faisant partie intégrante du cimetière. À ce titre, certains logiciels permettent une gestion du patrimoine bâti et végétal, ce qui peut s’avérer très intéressant pour la planification des budgets. L’interface graphique permet en visualisant le plan du cimetière de cliquer sur une sépulture et d’obtenir toutes les informations la concernant : type de concession, date d’échéance, liste des défunts inhumés, etc. Une photographie du monument pourra même y être associée dans le but d’effectuer une visite virtuelle de son cimetière.

Un outil au service du gestionnaire

Le gestionnaire du service pourra établir un état des lieux précis recensant la capacité totale du cimetière, le nombre d’emplacements disponibles, la répartition entre les terrains communs et les concessions, ainsi que leur localisation grâce aux thématiques disponibles.
Il pourra également visualiser la typologie des sépultures, la répartition des concessions par durées, les concessions ayant une procédure de reprise en cours, etc.
Il pourra effectuer des projections dans le temps, par exemple visualiser les concessions arrivant à échéance dans les années à venir, afin de planifier les réimplantations de carrés.
Il pourra instantanément visualiser les tombes dont l’entretien revient à la commune (donations testamentaires, victimes civiles, militaires, etc.).
Il pourra faire évoluer son cimetière via des outils de dessin intégrés, et créer, modifier ou supprimer des emplacements avec une grande facilité.

Un outil au service des agents de terrain

Les agents de terrain pourront, munis d’une tablette ou d’un smartphone, consulter des informations sur une sépulture en étant directement postés devant le monument (travaux, liste des défunts inhumés, date d’échéance, etc.).

Un outil au service des administrés et des opérateurs funéraires

L’interconnexion entre une base de données et la cartographie permet un gain de temps agent et une réactivité accrue. Ainsi, les emplacements disponibles pourront être facilement repérés et présentés aux familles via l’écran de l’ordinateur. Les familles seront orientées dans le choix de la sépulture.
En cas de recherche d’un défunt, le repérage en sera grandement facilité et le plan pourra même être imprimé afin de le donner à l’administré qui en fait la demande. La cartographie permet aussi de renforcer la communication avec les opérateurs. En effet, la sépulture sur laquelle interviendra une inhumation ou des travaux pourra être matérialisée sur la carte et transmise par courriel aux opérateurs, par exemple. Pour
une gestion optimale, il est nécessaire d’y associer une bonne signalétique dans le cimetière. Certaines villes optent pour une signalétique de couleur (plan et bornage terrain), celle-ci étant plus aisément mémorisée par l’usager.

Dématérialiser la cartographie

De nouveaux services aux citoyens sont désormais disponibles, facilitant les recherches sur de plus grandes plages horaires, et valorisant le patrimoine des cimetières. En effet, trouver une tombe dans un cimetière où l’on n’est jamais allé peut s’avérer chose compliquée.

- Bornes tactiles

Une borne installée à l’entrée du cimetière permet de localiser sur la carte l’emplacement exact du défunt. Plus la carte est précise et fidèle, plus le repérage est aisé. Ainsi, le travail du gardien en est grandement facilité. L’avantage de ce système est de bénéficier d’un plan toujours actualisé, ce qui n’est pas toujours le cas pour un plan affiché à l’extérieur du cimetière.

- Site Internet

De plus en plus de services sont accessibles en ligne (état civil, cantine, etc.), ce qui n’était pas encore le cas des cimetières. C’est désormais chose faite puisque plusieurs communes ont déjà fait le pari de ce nouveau service à la population.
L’idée, c’est de pouvoir retrouver la tombe d’un aïeul directement depuis chez soi ou depuis son smartphone. Ce concept permettra, notamment en période de grande affluence comme à la Toussaint, de désengorger les services municipaux et d’apporter une réponse immédiate aux administrés ou aux fleuristes, en proposant d’imprimer le plan du cimetière avec la localisation exacte de la tombe. De la même manière, on peut
imaginer la facilité avec laquelle on pourra se déplacer dans un cimetière, guidé par son smartphone jusqu’à la tombe recherchée. L’affichage de la carte pourra même intégrer une photographie du monument.
Au-delà du service de localisation offert par une cartographie, celle-ci sera également essentielle dans la valorisation du patrimoine funéraire. En effet, elle permettra de mettre en place un circuit guidé, volet à la fois historique, informatif et éducatif, témoin du passé de la ville. Quoi de plus enrichissant pour comprendre l’histoire d’une ville que d’en visiter le cimetière, riche d’anecdotes, de personnalités locales et d’architecture. Ce patrimoine se doit d’être inventorié et sauvegardé, puis mis à disposition du public.
La cartographie permet de maintenir l’inventaire des concessions et d’optimiser la gestion des cimetières. Elle permet d’obtenir une vue réaliste du cimetière et ainsi de planifier les renouvellements, d’anticiper et évaluer les besoins d’espace.

La société Gescime, véritable expert en réorganisation de sites funéraires depuis plus de 15 ans, vous accompagne dans votre projet, de sa conception à sa réalisation. Nous nous adaptons à votre mode de gestion et à votre budget grâce à notre large éventail de prestations liées à la gestion des sites funéraires.

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10/01/2016
GESCIME fête son 700è client !
Bienvenue au Barcarès (dpt 66) qui devient la 700è référence GESCIME

Après 17 ans d'existence, la société GESCIME vient de fêter sa 700è collectivité partenaire. Ce sont ainsi 1.000 cimetières représentés, 1.500.000 emplacements intégrés et environ 3.500.000 défunts recensés. Merci à tous nos utilisateurs pour leur confiance et leur contribution au développement du logiciel et aux prestations d'expertise liées à la gestion de sites funéraires (saisie de données, cartographie, relevés épitaphes, importation de données, procédures d'abandon, audits, formations, veille réglementaire, etc.) et ainsi à l'essor de la société GESCIME.

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